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Ils n'en font qu'à leur tête...
Sarah Atcho rêve d'une médaille mondiale

Pleine d’ambition, la jeune sprinteuse vaudoise espère bien décrocher une médaille lors des Mondiaux de Londres.
C’est qui Sarah Atcho? La Vaudoise de Cugy, âgée de 21 ans, est l’un des grands espoirs de l’athlétisme suisse. Avec sa taille de 1 m 80 et ses longues jambes, elle possède une constitution idéale pour ce sport ou le métier de mannequin, qu’elle a pratiqué durant son adolescence.
Pourquoi on parle d’elle? Parce qu’elle a pris une très prometteuse 9e place sur 60 mètres aux Championnats d’Europe de Belgrade, sa première grande compétition individuelle, pulvérisant son record personnel pour le fixer à 7’’ 32.
Elle a commencé comment? Elle court après le chronomètre depuis l’âge de 13 ans, mais il a suffi qu’elle remporte le saut en hauteur et le sprint dans le cadre de joutes inter-collèges pour qu’elle franchisse le pas, délaissant ainsi les podiums de mannequins.
Joviale? Elle est drôle, expansive et pleine de vie. Un trait de caractère qu’apprécie Laurent Meuwly, son entraîneur. Elle met toujours l’ambiance à l’entraînement grâce à son sourire contagieux.
Sport et études? Elle jongle avec les horaires de son bachelor en relations internationales à l’Université de Genève. Il lui reste quatre ans à accomplir avant de pouvoir un jour travailler au CIO, son rêve.
Quels sont ses projets? En ce moment, elle est en stage de trois semaines en Afrique du Sud avec ses coéquipières du relais. A son programme cette saison, les Mondiaux de Londres et les Européens M23 en Pologne, où elle vise un top 5. Au fond d’elle, elle rêve déjà de Tokyo 2020. M. H.
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Nouveau défi pour l'équipe suisse de voltige

Après avoir été sacrée championne d’Europe, l’équipe suisse de voltige équestre se remet en selle.
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Anne-Flore Marxer à la découverte de l'Islande

La grande gagnante de l'Xtreme de Verbier peut enfin prendre le temps de souffler après une saison pleine.
Après son édifiante victoire au Bec-des-Rosses, le 3 avril dernier, Anne-Flore Marxer, la grande gagnante de l’Xtreme de Verbier, s’accorde un repos bien mérité en Islande. Sur son compte Instagram, la snowboardeuse freeride de 33 ans, originaire de Préverenges, se dit «inspirée» par ce pays aux geysers flamboyants. Attention les yeux! M. S.
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Découvrez le flacon favori des dames

Le label belge «Le vin des Femmes» débarque en Suisse grâce à Coraline de Wurstemberger, propriétaire viticole et amoureuse des crus de notre terroir.
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Pascal Viglino invite le public à écouter avec les yeux

Chaque semaine, L'illustré rencontre une personnalité au coeur de l'actualité culturelle romande. Aujourd'hui: le percussionniste Pascal Viglino, qui présente une création à Sion.
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Béatrice Métraux: "Les Vaudois ont une fibre écologiste"

Après les Fribourgeois, les Valaisans et les Neuchâtelois, c’est au tour des Vaudois d’élire leur gouvernement. Six des sept sortants se représentent, dont la conseillère d’Etat verte. Portrait d’une Franco-Suisse au parcours africain.





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"En Suisse, on s’occupe mieux des prisonniers que des victimes"

Alors que le meurtrier de sa fille s’apprête à retrouver la liberté et exerce au CHUV comme médecin visiteur, Henriette Mischler prend la parole pour la première fois. Elle raconte les mois de survie après le drame et dénonce le sort des victimes laissées pour compte.



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Drame de Vidy: «Je demande pardon aux familles»

Le chauffeur de la camionnette sort du silence
Alors que la colère se mêle à l’émotion après l’annonce de la relaxe du sexagénaire qui a fauché et tué Diana et Adrien, samedi 8 avril à Lausanne, celui-ci a tenu à dire sa détresse et à demander pardon pour son acte, par le biais de L’illustré.
C’est la voix chancelante d’un homme bouleversé, brisé par le remords et torturé par la mauvaise conscience qu’on distingue à l’autre bout du fil. «La justice m’interdit de parler pendant l’enquête, mais je ne suis pas quelqu’un qui se cache ou qui fuit ses responsabilités, bien au contraire. Je suis conscient de la tragédie que j’ai provoquée et je demande pardon aux familles et à tous ceux que ce drame plonge dans l’affliction et la souffrance», confie l’homme qui nous rappelle depuis un numéro caché, après que nous ayons contacté son employeur. Et de poursuivre: «Ce que j’ai fait n’est pas réparable et peut-être pas pardonnable. Jamais je ne pourrai oublier les cris de la sœur du jeune homme et l’état du papa sur les lieux de l’accident. C’était horrible, une situation qu’on ne peut même pas imaginer vivre un jour. J’en suis malade. J’ai moi-même des enfants de cet âge et je mesure la souffrance et le désespoir que j’ai causés. Je comprends dès lors la colère des proches et des gens.»
Il poursuit: «Si j’étais de l’autre côté de la barrière, je réagirais de la même façon. Mais j’ai également une famille et des personnes à protéger, alors, si j’accepte la révolte des proches, c’est aussi très douloureux pour eux d’entendre de la bouche de gens qui ne savent absolument pas ce qui s’est passé que je suis un terroriste de la route, un chauffard fou ou, pire encore, que mon acte était délibéré. S’il y a du vrai dans ce qui a été rapporté, il y a également pas mal d’éléments erronés. Ce que je peux dire, c’est qu’il n’y avait ni vitesse excessive ni alcool. A ce stade de l’enquête, je ne peux malheureusement rien révéler de plus et je m’en excuse profondément. C’est d’abord à la justice et aux familles, si un jour elles sont prêtes à m’écouter, que je dois des explications et la vérité.»
«Nous ne sommes qu’au début de nos investigations»
Il est vrai qu’en l’absence d’informations claires sur les circonstances de la tragédie, la nouvelle selon laquelle l’homme à la camionnette blanche qui a mortellement renversé Diana (22 ans) et Adrien (25 ans) sur un passage clouté de l’avenue de Rhodanie, samedi en fin d’après-midi, a pu rejoindre librement son domicile après son audition par la police a suscité l’émotion et l’indignation à travers la ville et au-delà. Une relaxe que nous a confirmée le procureur d’arrondissement du Nord vaudois chargé de l’enquête, Stephan Johner, sans toutefois en préciser les motifs. «Nous tentons d’établir les faits mais nous ne sommes qu’au début de nos investigations», s’est borné à déclarer le magistrat, sans anticiper sur les sanctions futures. «Cela dépendra aussi de son parcours, de ses antécédents», relève-t-il.
Colère et incompréhension
Cette situation n’a pas manqué de renforcer l’incompréhension et de choquer les proches et les amis du couple qui se succèdent sur les lieux du drame, à la hauteur de la Maison du sport international et du club de tennis Stade-Lausanne, où un mémorial a été érigé. A tel point qu'hier après-midi, la colère se mêlait à la douleur et à l’émotion. A l’instar d’Esteban Florès, plusieurs amis des victimes affirmaient en effet vouloir organiser une manifestation et mettre la pression sur la justice via les réseaux sociaux et une pétition contre ce qu’ils considèrent comme de la provocation et une profonde injustice vis-à-vis des familles concernées. «Nous sommes ulcérés et révoltés. Comment comprendre que cette personne, qui semble avoir commis plusieurs infractions avant le choc fatal, ne soit pas incarcérée ou au moins surveillée alors qu’elle représente un danger pour les autres?» s’indigne le pote des deux chanteurs bien connus et estimés des milieux musicaux et culturels romands. Selon des témoins, le chauffeur aurait dépassé des véhicules arrêtés en double file ou qui ralentissaient, précisément pour laisser traverser le couple, avant de le percuter. La sœur d’Adrien, qui suivait à un mètre, a, quant à elle, été miraculeusement épargnée.
Meurtre ou homicide
S’il comprend que la décision de laisser l’auteur de ce drame en liberté puisse surprendre, l’avocat genevois Charles Poncet la considère en revanche comme conforme au droit. «A partir du moment où le chauffeur reconnaît avoir accidentellement causé la mort par négligence, il est présumé innocent. La mise en détention ne s’applique que s’il y a risque de fuite ou de récidive, ou si l’auteur entreprend de faire disparaître des preuves ou de suborner ou de menacer des témoins.» Une interprétation des faits qui pourrait cependant prendre une tout autre tournure si l’enquête démontrait un dol éventuel. «En clair, que le coupable n’a pas voulu le résultat de son acte mais qu’il accepte que celui-ci se soit produit. Exemple: une personne roulant de nuit à 200 km/h sur l’autoroute qui happe mortellement un piéton. Dans ce cas, il y a de fortes chances que son acte soit considéré comme un meurtre.» Un acte puni par une peine privative de liberté de cinq ans au minimum alors qu’en cas d’homicide par négligence, celle-ci ne peut excéder trois ans.
Cinq jours après cette terrible tragédie qui a ému toute la Suisse romande, la mort de Diana et d’Adrien, fauchés en plein bonheur et alors qu’ils fourmillaient de projets, a dévasté de nombreuses vies tant du côté de leurs familles que de celle du coupable.
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Agnès Wuthrich: "Mon mari vit désormais à travers nos enfants"

Visage familier du TJ de midi, mère de famille, la journaliste vient de perdre celui avec lequel elle a vécu dix-sept ans. Un drame qu’elle surmonte avec un courage impressionnant.


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Clint Capela a su s'imposer en NBA

Le Genevois a signé sa plus belle saison régulière en NBA, contribuant largement à la 3e place des Rockets dans la Conférence ouest.
La fusée suisse en orbite Au Texas, celui qu’on surnomme The Swiss Freak (le phénomène suisse) depuis son atterrissage à Houston en 2014 a littéralement décollé lors de cette saison régulière de NBA. A 22 ans, le Genevois connaît une popularité grandissante.
Duo de choc Sur le parquet, l’entente entre le Suisse et James Harden, leader charismatique des Houston Rockets, a largement contribué à la troisième place de la franchise texane dans la Conférence ouest. Le pivot genevois, titulaire du cinq de base du coach Mike D’Antoni, affiche ainsi les plus belles statistiques de sa carrière, avec une moyenne de 12,5 points et 8 rebonds par match. Il y a quelques jours, lors de la dernière rencontre de la saison régulière gagnée contre les Timberwolves du Minnesota, Clint Capela signait même son quinzième double double de l’exercice, avec 22 points et 10 rebonds pour un différentiel de +18.
Place aux play-off De bon augure pour la série des play-off qui vient de démarrer. «Notre but est une place en finale de Conférence», confiait récemment Clint Capela dans la presse. La première série opposera les Rockets au Thunder d’Oklahoma. A. J.
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Radio, micro, dodo pour Romaine Morard

Romaine Morard sera la nouvelle voix du journal du matin sur La Première. Elle succède à Simon Matthey-Doret, treize ans d’antenne.
La tranche horaire du journal du matin sur La Première, 300 000 auditeurs, a été pendant treize ans le domaine de Simon Matthey-Doret, 46 ans, qui réveillait les Romands dans l’un des moments les plus intimes de la journée. «La décision de partir a été difficile à prendre, confie le journaliste. J’ai passé un hiver nostalgique, mais les deux dernières années ont été terribles.» Fatigue et cernes, levé à 3 h 30, arrivée à la radio à 4 h 20, préparation de l’émission, deux heures de direct, retour à la maison, sieste, puis début d’une journée de papa: Simon Matthey-Doret cède ses journées décalées à Romaine Morard, venue de la télévision.
Après un passage remarqué au 19:30, la journaliste de 38 ans a œuvré pendant une année dans l’émission Infrarouge. «De toute façon, je suis déjà épuisée, ça ne peut pas être pire, rigole franchement la maman de Gaspard et Jules. Plus sérieusement, la Valaisanne, «passionnée de radio depuis l’enfance, au point de ne pas pouvoir m’endormir avant d’avoir entendu le flash info», se déclare pleine d’énergie et d’envie. Simon Matthey-Doret se réveillait avec Couleur 3 et de la musique, Romaine Morard s’imagine le faire avec France Info. Le premier part pour un projet encore secret mais toujours un micro à la main, la seconde arrive avec l’envie de trouver son ton et une rigueur pour un journal du matin qui sera remanié. «Et pour le rythme de mes nuits, mon organisation familiale et personnelle, on verra bien…» M. M.
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Partition à quatre mains pour Jean Romain et Stéphane Berney

Jean Romain et l'ancien journaliste de L'illustré Stéphane Berney signent Ploukitudes. Une interrogation sur l’époque.
Le titre, Ploukitudes, se détache en rouge sur la couverture du livre. Ce mot irrésistible, chacun est à la fois sûr de sa signification et de sa destination. Les ploucs? Ce sont les autres, forcément. Jean Romain, philosophe, député au Grand Conseil de Genève, et notre confrère Stéphane Berney, journaliste et poète, sont de sacrés «ploukologues». Ils en livrent l’étymologie et dissertent doctement de ce qui, aujourd’hui et à travers l’histoire, lui donne sa puissance et sa singularité. Un jeu de questions-réponses sur 168 pages à lire même dans le désordre. Reflet de notre époque molle, c’est assurément un miroir. On est tous, ne nous déplaise, le plouc de quelqu’un.
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Donna Vekic: «Stan est une personne magnifique»

Donna Vekic, 20 ans, compagne de Stan Wawrinka et 82e au classement WTA, était alignée au Ladies Open de Bienne la semaine dernière. Interview express.
Une question sur Stan, pas plus. Le ton de l’interview avec Donna Vekic est donné. La rencontre a lieu juste après sa victoire au premier tour du Ladies Open de Bienne, contre la Roumaine Sorana Cirstea. On sent la joueuse croate un rien méfiante, soucieuse de répondre vite sans jamais trop en dire. A l’affût de la question piège. Il n’y en aura pas: nous voulions juste faire connaissance avec celle qui partage la vie de «notre» champion vaudois.
Vous avez décroché votre premier titre en Malaisie en 2014. Quel deuxième tournoi rêvez-vous de remporter?
Wimbledon, je crois, parce que j’aime énormément le jeu sur gazon. Mais je préfère ne pas trop y réfléchir pour l’instant. J’ai envie de faire progresser mon jeu sans forcément penser à gagner. Il y a quelques années, quand j’ai remporté ce premier titre, j’étais obnubilée par une deuxième victoire et je me suis mis beaucoup trop de pression sur les épaules. Cela a été une période difficile à gérer.
Vous êtes souvent comparée à Maria Sharapova. Ce rapprochement vous convient-il?
Il ne me dérange pas, en tout cas. Maria est une très grande joueuse avec un palmarès immense. J’adorerais forcément marcher dans ses pas.

Enfant, quels modèles aviez-vous?
Je n’admirais personne en particulier, mais je suivais beaucoup le tennis. Je me souviens des grands duels entre Venus et Serena Williams que je regardais à la télévision. J’avais 6 ans quand elles se sont affrontées la première fois en finale de Wimbledon. Alors, l’année dernière, quand j’ai joué Venus à Wimbledon précisément, c’était un moment très spécial. J’ai aussi eu la chance de rencontrer Chris Evert, parce que j’étais entraînée par son frère aux Etats-Unis. J’ai adoré avoir ses conseils.
Avez-vous des amies sur le circuit?
Oui. Je suis copine avec les autres filles du tour, notamment Serena (ndlr: Williams). Mais, vous savez, nous avons toutes très peu de moments libres, entre les entraînements, les matchs et les voyages. Alors, quand j’ai du temps, je préfère le passer avec ma famille ou mes copines d’enfance. Ce n’est pas facile d’entretenir des amitiés avec ce métier. Heureusement que mes amies sont compréhensives et qu’elles acceptent de me rendre visite sur les tournois.
Quelle a été votre enfance?
J’ai grandi à Osijek, une ville en Croatie. Le sport a rapidement occupé une bonne partie de mon temps. A 4 ans, j’ai commencé la gymnastique, mais j’ai eu envie de découvrir un autre sport. J’ai essayé le tennis à l’âge de 6 ans. J’ai tout de suite adoré et je me suis rapidement entraînée tous les jours. J’avais peu de temps pour faire d’autres activités. J’ai d’ailleurs très vite dû rater des jours d’école. Cela m’a un peu manqué. Quand mes copains se plaignaient de devoir aller en cours, moi, je les enviais. Je n’ai pas eu une enfance complètement normale à cause de cela, et j’ai la sensation d’avoir grandi plus vite que les autres.
Etes-vous fille unique?
Non, j’ai un frère plus jeune qui rêve de devenir pilote.
Et vous, quel autre métier auriez-vous pu faire?
Actrice ou avocate.

Comment vos parents ont-ils réagi quand vous leur avez annoncé vouloir devenir pro?
J’ai eu la chance d’avoir leur soutien. Je suis très proche d’eux. Ils m’auraient soutenue aussi si je m’étais destinée à un autre métier. Ma mère a fait beaucoup d’athlétisme, mon père du football. J’ai grandi dans une famille de sportifs, même s’ils ne s’entraînent plus beaucoup aujourd’hui et que j’essaie de les motiver à se bouger (rires). Ils ont compris ma démarche, mais ne se doutaient par contre pas que cela serait aussi long et difficile.
Quels sont les aspects les plus durs de ce métier?
J’ai eu la chance de gagner un premier tournoi très jeune (ndlr: elle a remporté le BMW Malaysian Open à l’âge de 17 ans). Mais, avec le recul, je crois que ce n’est pas la meilleure chose qui me soit arrivée. Comme je le disais, j’ai dû batailler pour accepter de ne pas regagner tout de suite. Ce métier offre de grands moments d’émotion mais aussi des coups durs parfois difficiles à surmonter. En tant qu’athlète, il faut apprendre à gérer ça rapidement. Les voyages sont aussi difficiles, même si souvent les gens s’imaginent que c’est l’aspect le plus chouette d’une carrière sportive. Il m’est arrivé certains matins de ne plus me souvenir dans quelle ville je me levais.
Et les moments agréables?
La liberté que l’on peut parfois s’octroyer dans une ville après un tournoi. Quand j’ai du temps, j’aime aller au cinéma et faire du shopping. A Miami, j’ai pu profiter de la plage, c’était génial. J’aime tout particulièrement jouer Wimbledon, à Londres, parce que j’y ai beaucoup de souvenirs et d’amis. Je me suis entraînée plusieurs années là-bas. Sinon, en Suisse, j’aime beaucoup Genève.
Quelle est, d’après vous, la plus grande qualité de Stan?
Son humilité. Il travaille très dur et respecte les gens autour de lui. C’est une personne magnifique.